PRÉNOMS › Avery-Isaak, les deux prénoms de mes grands-pères associé l'un avec l'autre. Drôle d'association, avec ceux là on pourrait penser que je n'ai pas de deuxième prénom ou autre mais si, l'autre plus simple est Arthur. Mais la plus part des gens m’appellent soit Isaak, soit Avery, enfin mes proches n'emploient que très rarement mon prénom complet. NOM › Lègan, pas très répandu certes aux consonances orientale mais pas du tout. Je sais juste pas d'où c'est sortit vu que je suis irlandais de naissance , d'origines et tout comme mes ancêtres. AGE › vingt et un ans, la majorité légale dans maintenant tout les pays.  LIEU DE NAISSANCE › Édimbourg, oui oui un irlandais né en Écosse c'est louche mais je n'y peux rien, ma mère était en voyage d'affaire. Oui, même à huit mois de grossesse. NATIONALITÉ › Irlandais, purement.ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE › Encore sur les bancs de la fac et clairement incertain sur mon avenir. SITUATION FINANCIÈRE › Clairement supérieure à la plus part des gens, il faut le reconnaitre. SITUATION AMOUREUSE › Chaotique. ORIENTATION SEXUELLE › Pas vraiment décidé. Enfin sans doute les deux, c'est même certain. GROUPE › Dragibus  AVATAR › Daniel Sharman

souriant, têtu, créatif, mauvais perdant, joueur, fêtard, paradoxal , attentionné, curieux, lunatique, malin, intelligent, un peu chiant, loyal, charismatique, drôle, sportif, studieux, sérieux, sociable, fidèle, parfois trop crédule, adorable, tactile, grognon, froid par moment, peu bavard sur lui, à l'écoute.

fils unique du couple Lègan ◄ j'ai grandis dans un château irlandais, oui un château vieux de trois siècles, rénové par les habitants de celui-ci au fur et à mesure, qui ont toujours été de notre famille ◄ je déteste que l'on fasse allusion à mes ancêtres et de la noblesse dont il faisait partit, oui j'ai une famille riche mais ça ne veut rien dire sur moi ◄ un petit peu "précieux" sur les bords, je sais aussi que c'est du à mon éducation et au fait que ma vie "plutôt riche" m'a épargné de beaucoup de galère ◄ j'ai étudié à Dublin jusqu'au collègue, puis je suis aller faire mon lycée à Manchester. Avant de débarqué ici ◄ je pourrais tué pour un cappuccino, surtout le matin entre neuf heure et dix heures ◄ je déteste que l'on critique ma famille ou mes amis, je peux devenir très agressif par protection de ceux à qui je tiens ◄ oui je n'ai aucun problème d'argent grâce à "papa et maman" ça veut pas dire que je suis bon à rien, loin de là. ◄ le sommeil, c'est sacré, vraiment, mais passé huit heure et demi c'est finis pour moi, et je suis un pro des réveils énervant avec mes compagnons de sommeil ◄ je supporte pas qu'on me rabaisse, comme tout le monde évidement ◄ j'ai un chat et un poisson, mais je suis pas doué pour penser à nourrir le poisson, parce qu'il demande jamais rien. ◄ je m'implique toujours énormément dans mes relations, amicale ou autres, faisant tous pour réussir ◄  je ne bois que très peu, et je ne fume pratiquement jamais, où alors juste quand je suis stressé ◄ j'ai aménagé il y a quelques temps ici ◄ ma voisine de palier est canon, gentille, super sympa, bref une torture ◄ je passe beaucoup de mon temps libre à la plage ◄ mon accent irlandais agit de grande pancarte au dessus de matête pour dire que je suis bel et bien pas du coin  

On voit de tout et de rien. On pense à tous et on pense moins. Moins d'envie, moins de douceur, moins de tout. On veut tout et on en a plus besoin. On se façonne à notre manière ou à la leur, on se façonne tel des pantins à ces images préformatées. Faut pas croire, on a de la volonté, on est pas tous des simple brebis piratées... Où alors... peut-être que si. On passe notre vie à être dicté, à rêver de liberté. Voici comment ça se passe : tu as 20 ans, tu déconnes un brin, et quand tu te réveilles tu en as 30. C’est fini : plus jamais ton âge ne commencera par un 2. Tu dois te résoudre à avoir dix ans de plus qu’il y a dix ans, et dix kilos de plus que l’année dernière. Combien d’années il te reste ? 10 ? 20 ? 30 ? L’espérance de vie moyenne t’en accorde 42 si tu es un homme, 50 si tu es une femme. Mais elle ne compte pas les maladies, les cheveux qui tombent, le gâtisme, les taches sur les mains. Personne ne se pose ces questions : En avons-nous assez profité ? Aurions-nous dû vivre autrement ? Sommes-nous avec la bonne personne, dans le bon endroit ? Que nous propose ce monde ? De la naissance à la mort, on branche nos vies sur pilotage automatique, et il faut un courage surhumain pour en dévier le cours. L'amour dure trois ans. On passe notre vie à méditer, à rêver de la voie lactée, certains en oublie qui ils sont, d'autre y parviennent... dit-on. J'aurais aimé être. Être aimé, être libéré, être abandonné, être détesté, être tant et si peu, être trop et trop peu. J'aurais aimé "être" tous simplement. J'aimerais. Au futur. Un poète n'a-t-il pas dit "on est pas sérieux à dix-sept ans" ?! J'aimerais tracer ma vie comme ça peu importe, même en étant premier en classe ou dernier, même étant PDG ou bien simple caissier, j'aimerais qu'à ma mort, on rit sur ma tombe, qu'on me regarde prêt à descendre sous terre et qu'on murmure avec un sourire " lui, il a bien vécut."

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Je reste là à observer la scène en silence, sans vouloir m'interposer dans se qui pourtant est une situation qui me concerne entièrement. Pire que cela même, étant au centre de cela je devrais parler, m'exprimer... Seulement, pour ça il me faudrait en avoir la possibilité et surtout... savoir que dire. Et là je n'ai rien à dire, rien, mon regard passant d'une personne à une autre dans cette joute verbale qui commence à me faire tourner la tête sans que je ne dise rien pour autant. Mon regard passant de Selma à Manon, et ainsi de suite. Quand brusquement un "chut" me fait tourner la tête apercevant la bibliothécaire qui nous fixe avec fureur. Je me penche sur la table vers les filles. Les filles... on pourrait reprendre le boulot et on... Je m'attire un regard furieux de Manon, stupéfait de Selma, alors que je me remet contre le dossier de ma chaise comprenant que je dois me taire ou ça va me retomber dessus... Les minutes filent et nous attire un autre regard assassin de la femme qui garde les lieux. Je me racle la gorge m'appuyant doucement sur la table. On a du boulot... on pourrait voir le reste plus tard, en dehors de la bibliothèque pour... Le claquement de langue résigné de Selma m'interrompt. C'est ta faute aussi si on en est là ! Monsieur a voulut de nous deux dans le groupe, monsieur ne se décide pas, monsieur nous fait languir toutes les deux ... tu veux quoi ? Un combat de fille dans la boue ou quoi ?!! Hein ? Que... quoi ? Cette fois-ci je les dévisage tour à tour face à ce choix et cet ultimatum. Sérieusement, décides toi à la fin. Tu flirtes avec nous deux et tu pensais que ça pouvait durer ? Qu'on ne dise rien ? Je tombe alors des nues. J'suis déjà avec quelqu'un. Ok ça vire aux révélations pour chacuns ou quoi ? Vu leur regards j'ai l'impression d'être le salaud qui s'est joué d'elles... je n'ai jamais rien fait, jamais rien caché, j'suis juste discret sur ça... Non... impossible. Comment ? C'est qui ? Leur regard se tournent sur Mawann qui depuis le début est scotché à son livre à notre table, passant comme inaperçu et ne remplissant en rien son rôle de meilleure amie face à moi, qui relève le regard avec un sourire navré aux filles. James. Et là j'ai lâché semblerait-il une bombe.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Laissant le carton à la porte de ma chambre, je souffle en sueur et mes muscles me faisant un mal de chien. Etant à la tâche depuis le début de la mâtinée, je n'ai avalé qu'un bref repas à l'hôtel avant de venir attendre les déménageurs que mes parents ont employé. Un soupire et je m'étire virant mon tee-shirt poisseux alors que je regarde les lieux remplit de cartons et meubles déposé ça et là sans organisation. Et c'est torse nu, collant, sale et résigné que je me laisse tomber sur mon sofa en regardant mon nouvel appartement avec la tonne de cartons où reposent mes affaires n'attendant qu'à venir peuplé ces lieux et cette nouvelle vie dans cette si petite ville d'Amérique. Le temps passant sans que je trouve le courage de me lever, c'est finalement la sonnerie de ma porte qui me tire de mes songes et des raisons pour lesquelles j'ai quitté l'irlande pour venir m'isoler dans une ville qui figure pas sur toutes les cartes aux premiers abords. Je me tire donc de ce confortable canapé pour rejoindre la porte d'entrée ouvrant à mon premier visiteur de mon nouvelle appartement. Qui se trouve être une femme. Alors ainsi c'est vous mon nouveau voisin !! Pétillante, elle lance ça avec joie alors que je regarde la porte d'en face qui est ouverte. Nouvelle voisine. Je sourie prit au dépourvut alors que je remarque un détail non négligeable, réellement. Ma nouvelle voisine est une bombe, littéralement une bombe de sourire et de... beauté. Génial, il ne me manquait plus que ça dès mon aménagement !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Je termine d'enfiler mon jean rejoignant Mawann au salon qui est affalée sur mon sofa avec tous se qui résume sa non classe et son manque de glamour quand elle en a pas envie. Et pourquoi devrais-je faire ça ? j'suis en vacances moi.. Bougon la souillon, je ne me démonte pas la regardant avec un haussement d'épaule lui rétorquant que justement les vacances servent à sortir justement, à s'éclater et que la soirée "immeuble" de mes voisins est le parfait truc pour bouger et pas rester cloîtrée dans mon appartement. Sortir, pas se faire sortir au bras de son meilleur pote déguisée en petite amie... Je met mon tee-shirt la rejoignant pour éteindre la télé alors que j'enfile des chaussures. Toujours à rouspéter, elle, elle adore râler. Toujours à tout protester, jolie blonde qui ne cesse de la ramener . On se déguise pas en petite amie Maw', allez s'il te plait... je ne peux pas y aller tous seul comme ça...Elle grogne se lève avec nonchalance pour prouver sa non-volonté, je sourie la remerciant rapidement. Tu veux surtout pas te retrouver seul comme un crétin face à ta sexy voisine ouai. Saches le, je te frapperas chaque fois que tu te mettra à la fixer plus de dix secondes. J'ouvre la bouche pour répondre alors qu'elle lève la main. Dis pas le contraire, dans l'ascenseur tu as passé tout le temps à fantasmer sur elle, et j'ai limite vu l'ascenseur se remplir de la bave que tu sécrétait mentalement... Ma meilleure amie, ce poète. Je lève les yeux au ciel face à ses paroles. Quoi j'y peux rien si pour le moment je connais ps assez de monde pour ne pouvoir fantasmer que sur ma voisine de palier. Elle est marrante la Mawann, mais justement si je sors c'est bien pour rencontrer d'autre personnes sur qui élargir mes horizons... Files t'habiller melle "j'ai un avis sur tous". Elle m'envoie un baiser de la main, faisant une mini révérence comme si c'était le meilleur des compliments et file dans ma chambre.

Après lecture de ta fiche, j'ai l'honneur de t'annoncer que tu es des nôtres, bienvenue sur MODERN LOVE. Comme tu viens juste d'arriver sur le forum, je pense que tu es un peu perdu, pas de panique, je suis là pour t'aider. Tu as hâte d'arpenter les rues de Folly Beach, de découvrir les plages ? Pour que tu te sentes bien chez nous je te conseille avant cela d'aller :


∞ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], c'est essentiel si tu veux te faire des amis ou des ennemis.
∞ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], ça c'est juste si tu ne veux pas dormir dehors sous un pont ou si tu veux gagner de l'argent.
∞ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], parce qu'une petite compétition conviviale a été lancée.
∞ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], si jamais tu cherches le grand amour ça peut être un bon moyen.
∞ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pour commencer à jouer et à arpenter les rues de Folly Beach.


Bon jeu parmi nous.