PRÉNOMS › Eden, Swan. NOM › Cooper (ouais, comme Alice). AGE › 27 ans. LIEU DE NAISSANCE › Folly beach. NATIONALITÉ › Américaine. ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE › Flic.  SITUATION FINANCIÈRE › Moyenne. SITUATION AMOUREUSE › En couple avec moi-même. ORIENTATION SEXUELLE › Hétérosexuelle. GROUPE › Tête brulée.  AVATAR › Ellen Page.

courageuse, solitaire, drôle, (trop) franche, ingénieuse, méfiante, forte, dure, inventive, (trop) cash, loyale, sarcastique, simple, brisée, attentive, grande gueule, facile à vivre, lunatique, bonne musicienne, piètre cuisinière.

Sa petite taille (1m55) et son visage enfantin l’ont toujours fait paraitre très (trop ?) jeune  ∞ issue d’une famille modeste elle n’a jamais manqué de rien et se vante encore aujourd’hui d’avoir toujours des parents mariés ∞ malgré le couple solide que forment ses géniteurs, Eden ne croit pas que l’amour soit fait pour elle, notamment à cause de son expérience personnelle dans ce domaine ∞ elle est née avec une maladie ∞ elle joue e la guitare depuis ses sept ans ∞ si baisser sa garde est quelque chose d’ardue pour Eden, elle y arrive cependant par le biais de la musique, notamment en chantant ∞ garçon manqué depuis toujours, elle se lie plus facilement d’amitié avec les hommes qui la considèrent comme leur égal ∞ elle vit en colocation avec son meilleur ami et partenaire professionnel ∞ elle est devenue flic par vocation, son métier est sa cam.∞  elle a perdu son grand frère lorsqu'elle avait 15 ans ce dernier est mort dans une fusillade alors qu'il tentait d'arrêter le principal suspect de son enquête, car oui, c'est lui qui a donné à Eden le gout pour son métier. ∞ Eden a eu beaucoup de mal a se remettre de son décès tant ils étaient proches.

Souvenir, novembre 1991

« Aller ma louloute, c’est l’heure de se coucher. » « Je veux un bisou de papa ! » « Viens là mon ange. » « Maintenant au lit. » « Je veux ma chanson aussi… » « Et le mot magique ? » « S’il te plait maman chérie !! » « Ya pas à dire, il sait comment nous faire flancher ! » « Allez mets-toi bien sous tes draps, voilà. Chéri tu peux éteindre la lumière. Bien… Tu chantes avec moi trésor ? Une bulle, bulle vole…» « Quatre bulles, bulles… » « s’envolent… Une bulle, bulle vole… » « Mais où vont ces bulles dans les ciel immense ? » « Comme des libellules on dirait qu’elles » « dansent … »

Souvenir, avril 1993

*Ding dong* Je serre mon sachet en papier kraft contre moi et attends que la porte s’ouvre. J’entends des pas venir à ma rencontre et soudain, se trouve face à moi mon voisin. Il n’a que trois ans de plus que moi et pourtant j’ai l’air ridiculement minuscule face à lui. Mes joues se colorent en un éclair et je baisse les yeux au sol tout en tendant d’un bras tremblant mon petit sachet. Il l’attrape sans poser de question, je lâche un soupir de soulagement et prends mes jambes à mon cou en rejoignant ma maison. Devant ma propre porte d’entrée, j’ose un regard vers la maison de Zachary. Ce dernier me regarde. J’esquisse un petit sourire. « A demain ! »

Formulaire d’un professeur, classe de 5ème, 1998

Nom : Cooper.
Prénoms : Eden & Swan.
Date de naissance & âge : 6 décembre 1986, 27 ans.
Profession du père : Entraineur de hockey sur glace.
Profession de la mère : Couturière.
Nombre & âges des frères et sœurs : Un grand frère d’un an de plus.
Activités extra-scolaires : Je fais du hockey, j’aime beaucoup lire et écrire, voir mes amis.
Matière préférée : Anglais (littérature) et Sport.

Souvenir, juin 2001

La musique résonnait dans mes oreilles, mon cœur battait au rythme des musiques dance qui s’échappaient des enceintes de la maison, et je cherchais à mettre la main sur une bouteille de vodka encore pleine. Un sourire par-ci, un clin d’œil par-là. Voilà bien longtemps que j’étais passé maître dans l’art d’évoluer en société. Je n’étais pas sympathique (loin de là !), j’étais juste désirable. Désirable parce que je sortais avec l’intouchable, le mystérieux, le sexy Wayne (rocker à groupies de son état) lequel me répétait sans relâche « si quelqu’un n’a pas besoin de ce que tu as à lui proposer, créer ce besoin ! ». Alors je créais ce besoin. Ouais. Je les obligeais à avoir besoin de moi. Une fois l’objectif atteins, j’avais l’embarras du choix pour disparaître de leur vie, et ce, sans un préalable sevrage. Je ne savais pas si on pouvait me définir comme une parfaite connasse (quoique m’approchant de la perfection ha ha. Ahem.) J’avais un besoin malsain d’être aimée mais je fuyais les attaches comme la peste. Il faut dire que Wayne avait un pouvoir magnétique sur moi, je reproduisais ses faits et actes, me pliais a la moindre de ses requêtes. Il était tellement tout. Moi aussi je voulais être aimée comme tous l’aimait… « Ed’ ! Par ici ! ». Je relevais un sourcil inquisiteur et cherchais d’où provenait la voix de ce qui semblait être une des nombreuses groupies de mon mec. Ou qui ne tarderait pas à le devenir si tel n’était pas le cas. Si Zach me voyait ! Lui qui m’avait connu comme crachant dans le dos de tels individus. Ma relation soudain avait mis à nu des facettes de ma personnalité que j’ignorai jusqu’alors... Je tournais la tête et découvrais adossé contre le mur une Sarah ivre morte qui s’affala contre moi dès que je fus a porté de bras. Finalement, on oublie pour la future groupie ! « Ça me fait super plaisir que t’ai pu venir ce soir. T’as faim mon chou ? » J’esquissais une légère grimace lorsque ce « mon chou » passa le seuil de ses lèvres. Elle attrapa un saladier de cochonneries sucrée. Bien trop sucrées. « Sers-toi ! Tu rentres de ton entraînement non ? Tu dois avoir terriblement faim ! » Je ne relevais pas le fait qu’elle se souvienne de mes horaires d’entrainement qui s’avéraient être en réalité les horaires de mon cours du soir… et déclinait sa proposition. « Non merci Sarah. » Toujours veiller à citer le prénom. « CHRIIIIS ! » L’intéressé accouru. « Tu me dois 50 €, elle a refusé ! » « Edden t’es pas sérieuse ! » Incompréhension totale bonjour. « J’avais parié à Chris que tu ne mangerais rien de ce que je te proposerai. Comme à chaque fois. A croire que tu ne manges jamais en soirée. » « Ed’, vraiment, je pensais me faire de l’argent facile ! Aide-moi ! Mange un truc s’teuplai ! » je secouais avec fermeté la tête. « VICTOIRE ! » « 50 balles Ed’ ! Putain ! Je suis ton pote merde, manges un de ses bonbecs et on partage là! » « Lâche l’affaire… » Chris m’agrippa par la manche, mais sa poigne était si molle qu’on pouvait très aisément prédire son état d’ébriété. « Chris lâche moi, je ne mangerai pas ces merdes. » Je le repoussais doucement mais avec fermeté. «  Ces merdes, ces merdes. Madame prône la nourriture bio peut-être ? » « Peut-être tu devrais y songer vu la largeur de ton postérieur darling. » Ok. C’était complètement foutu pour la groupie. Mais je voulais qu’ils me lâchent. Je tournais les talons  en laissant derrière moi une Sarah outrée et un Chris moqueur bien que fauché. J’empruntais le chemin de l’étage et pénétrais dans une chambre vide. Dieu que j’en avais marre. Je sortais de ma poche de jean une large pochette que je dégrafais avec aisance et habileté. Avec habitude surtout… J’en extirpais une seringue. Je relevais ma chemise sans plus de cérémonie et plantais l’aiguille dans mon ventre. La porte s’ouvrit. Je me retournais rapidement, identifiant un couple clairement désappointé que je me trouve à cet endroit. Ils fixèrent la seringue et je m’empressais de les chasser ivre de colère. « PUTAIN ! Mais frapper vous connaissez pas ? Si je rentrais alors que vous copuliez, ça vous ferait autant chier ! Dégagez ! Vite !. » La porte claqua. La seringue était vidée. Je pestais intérieurement de ne pas avoir été plus prudente, de ne pas avoir choisi un endroit plus discret. Si ça se savait… Déjà je me sentais mieux. Je rangeais tout mon attirail qui me faisait ressembler à une camée de première zone. Si seulement… Diabète de merde, je t’emmerde.

Souvenir, mai 2002

La nuit est fraiche, mais c’est agréable. A la lueur des lampadaires la brise printanière fait chavirer quelques mèches brunes sur mon front. J’en coince une derrière mon oreille en priant pour qu’elle y reste et tourne à l’angle de la rue. L’endroit bien qu’habituellement fréquenté est désert. Après quelques mètres parcourus je distingue deux silhouettes adossées dans l’ombre qui regardent dans ma direction. Je plisse les yeux en vain, je suis loin d’être nyctalope… « Hey, Eden ! » Je plisse davantage les yeux, mais ce n’est que lorsque Dan et Peter sortent de l’ombre que je reconnais les deux meilleurs amis de Wayne. J’esquisse une moue qui m’est propre et vais à leur rencontre. « Hey les gars ça roule ? Vous faites quoi dans le coin ? » Un sourire fugace nait sur les lèvres de Peter tandis que Dan passe une main sur ma joue. Que fait-il ? « Je viens chercher mon cadeau pardi ! » Je hausse les sourcils, interrogatrice. Sans que je n’ai le temps de m’en rendre compte, Peter passe derrière moi, pose ses mains sur mes hanches avec fermeté et viens me planter quelques baisers dans le cou. « Hey !! Mais vous faites quoi là ? Vous avez envie que Wayne vous émascule ou quoi ? » Je lève les bras pour me dégager, mais, rapide, Dan me les saisit et à l’aide de Peter me plaque contre le mur. C’est quoi ce bordel ? Ils font quoi là !! « Elle est tellement mignone avec ses menaces hein Peter ? » « Sur ! » « Lachez moi !! Wayne va tuer ! » Un rictus sardonique vient se nicher sur les lèvres de Dan, mon sang se glace, mon corps se raidit. « Adorable même. C’est Wayne lui-même qui nous a permis de faire joujou avec sa potiche. Ça c’est un vrai ami tu vois, il fait profiter les copains. Et je vais te dire qu’on va pas se priver ! J’ai toujours voulu savoir comme la ptite Eden était gaulée sous sa chemise à carreaux ! » [color]Peter me plaque contre le mur du haut de son mètre quatre-vingt-dix tandis que Dan commence à déboutonner lentement chaque bouton de ladite chemise. Je gigote dans l’espoir de me défaire de l’emprise de Peter, la réaction de Dan est immédiate, il me gifle avec une violence que je ne lui connais pas. Mon dieu… Réveillez-moi de ce cauchemar ! Mon sang ne fait qu’un tour. Ni une ni deux, mon pied vient s’abattre dans les bijoux de famille de Dan lequel pousse un cri de douleur. Suivi d’un cri de rage. « Sale garce ! » Peter me jette à terre, ma tête cogne contre le sol. Bien que sonnée je me relève immédiatement. « Bande de cinglés ! Wayne vous fera bouffer vos mains pour m’avoir touché ainsi ! » Il me bloque le passage, s’ils ne me tiennent plus, je reste adossée au mur… Un rire rauque s’élève dans la gorge de ces deux vauriens. « Wayne en a rien à foutre de toi ! En ce moment même il est en train de tester les lattes de son sommier avec une de ses groupies. » Cette fois-ci, la gifle vient de ma main et s’abat sur la joue de Dan. Peter me plaque a nouveau contre le mur. Je me débats en lui griffant le visage. « Il nous avait dit que t’étais peu farouche au pieu, mais là c’est ptet un peu trop ! » A nouveau, j’envoie mon pied valser dans l’entrejambe de mon agresseur, Peter cette fois-ci. La main de dan s’abat encore une fois sur ma joue. « Il nous a dit de nous faire plaisir ! Mais si tu nous ruine nos instruments ça va pas être possible petite pétasse ! On avait le droit de te défoncer, si c’est pas au sens figuré ça sera au sens propre. » Je lui envoie mon poing dans la figure. Je me souviens qu’il a répliqué. J’ai surenchérie. Cependant. J’avais oublié de remarquer la bière que Peter venait de prendre en main. Sans le voir venir, Pete m’envoi sa bouteille en plein visage et je la sens se briser contre ma mâchoire. Intuitivement je ferme les yeux afin d’éviter  de recevoir le moindre éclat dans les yeux. Le salaud. Une violente douleur m’assaille de toute part. Je reçois un coup de pied dans le ventre que je ne parviens à éviter de par ma cécité momentanée. J’atterris au sol comme une malheureuse. « Pauvre fille ! »
Ces deux cons s’en vont, me laissant à terre en suffoquant. Je sens un liquide chaud me couler le long de la gorge. J’ouvre enfin les yeux. La douleur se fait plus vive. Je crache ma salive mais découvre avec un rictus qu’elle a davantage l’aspect du sang. Un gout métallique m’envahit la bouche. J’ai mal. Et c’est un doux euphémisme. Je tremble de tout mon corps et n’arrive pas à bouger. Et ce liquide chaud qui continue à couleur. Je comprends enfin que je suis en train de pisser le sang a même le sol. Je porte ma main à ma gorge en effleurant le dessous de mon menton. Ce contact m’arrache un cri de douleur. Je peux clairement sentir un bout de verre encore planté sous mon menton. Merde… J’extirpe mon portable de ma poche et compose un numéro en essayant de trouver appuie contre le mur derrière moi. « Zach’, je crois que j’ai besoin de toi. Maintenant. »

Souvenir, février 2010

Une détonation dans la nuit noire, une étincelle dans l’obscurité. Il a tiré à bout portant l’enfoiré. Je ne peux pas l’éviter, tout mon corps se contracte près à accuser le coup, l’impact ne se fait pourtant pas sentir, je rouvre les yeux lorsque j’entends Zach pousser un gémissement de douleur. Quoi ?! Tout est allé si vite ! Il git à mes pieds la poitrine en sang. « Zach ! » L’agresseur, les yeux rivés sur mon coéquipier, ne me voit pas venir, j’attrape mon flingue à ma ceinture et lui assène un coup de crosse en pleine nuque. Il s’écroule au sol, et après l’avoir roué de quelques coups de pied afin de m’assurer qu’il ne bougera pas je me précipite aux côtés de Zach. Je m’échoue à genoux, retire ma chemise en coton, forme une boule avec et tente de comprimer sa poitrine dans l’espoir de stopper son hémorragie. De la main droite j’appuie sur un bouton d’urgence de mon bipper afin de prévenir les secours. « J’ai appelé une ambulance, ça va aller. » l’assurance que je tente de dégager s’évapore lorsque les mots franchissent le seuil de mes lèvres. Je ne suis peut-être pas médecin, mais, bordel, tout ce sang, sa chemise en est presque totalement imbibée, c’est pas bon signe. Je comprime plus fort sa poitrine tandis que mes doigts se glissent dans ses cheveux et commencent à lui masser délicatement le crâne. Mon coprs est passé en pilote automatique tandis que mon cerveau est assailli par mes craintes. Pas lui. Je vous en supplie. Pas lui. Tout. Sauf lui. Les paupières de Zach s’alourdissent, j’ai beau le secouer, l’appeler il ne répond plus. « Zach… Zach, sérieux, ne me fais pas ça ! Zach !! Réveille-toi eh !! Ne me laisse pas… Je veux pas manger de la purée pour le restant de mes jours ! Je peux pas manger de la purée pour le restant de mes jours ! Je vais faire comment moi ? Zach répond-moi !! Je peux pas… Ma gorge se serre, une larme roule le long de ma joue et etouffe mes derniers mots « … vivre sans toi…

Après lecture de ta fiche, j'ai l'honneur de t'annoncer que tu es des nôtres, bienvenue sur MODERN LOVE.     Comme tu viens juste d'arriver sur le forum, je pense que tu es un peu perdu, pas de panique, je suis là pour t'aider.   Tu as hâte d'arpenter les rues de Folly Beach, de découvrir les plages ?   Pour que tu te sentes bien chez nous je te conseille avant cela d'aller :


∞ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], c'est essentiel si tu veux te faire des amis ou des ennemis.  
∞ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], ça c'est juste si tu ne veux pas dormir dehors sous un pont ou si tu veux gagner de l'argent.  
∞ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], parce qu'une petite compétition conviviale a été lancée.
∞ [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], si jamais tu cherches le grand amour ça peut être un bon moyen.
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Bon jeu parmi nous.